J'ai pu passer trois mois à Hong Kong en 1998, grâce à un très bon ami. Voici quelques photos que j'en ai ramené.
Des immeubles en construction. Ils ne font pas dans la demi-mesure, et ils sont construits par assemblage, comme des légos.
La station de bus de Jordan. Au fond, on voit Central District, le quartier d'affaire de Hong Kong, qui est sur l'autre rive.
Une de mes photos préférées, en tous cas des plus classiques. Le célèbre central district (là où ya une bonne partie des gratte-ciel les plus haut du monde), vu depuis Jordan.
Toujours la voie rapide surélevée, et on voit aussi les climatiseurs aux fenêtres des immeubles, qui crachent leur eau sur les passants.
La « cuisine » de notre appartement. On ne cuisinait jamais, le restaurant était très abordable et surtout très bon.
Une rue tipique des quartier « ouvriers » de Hong Kong, là où j'étais à peu près le seul occidental, et où les restaurants ne parlent même pas l'anglais (pratique pour commander).
Les ateliers en face du bureau qu'on a loué. Ils y pratiquent des opérations assez lourdes, et débordent souvent sur le trottoir, par manque de place (j'ai souvent dû m'écarter parce qu'ils soudaient de grosses plaques de métal entassées dans leur petit local, directement sur le trottoir)
De grosses industries dans des locaux grands comme une boutique... Les plaques d'acier y prenaient toute la place et envahissaient souvent le trottoir.
Le « Macy Center », un immeuble de bureau où nous avions loué le nôtre. Le propriétaire était de la mafia...
Un marché permanent de légumes. On y voyait les légumes arriver des quatres coins de l'asie tous les soirs un peu après minuit. Détails assez hallucinant, il n'hésitent pas à laisser leur marchandises ou leurs chariots contre le terre-plein centrale de l'avenue...
Les taxis typiques de Hong Kong. La conduite là-bas avait l'air... sportive. (Notez les marchandises au milieu de la rue).
Le quartier de notre bureau, avec ses enseignes, climatiseurs, et sèches-linge qui gagnent du terrain sur la rue.
Un restaurant en plein air au bout de la rue. Les toiles étaient dégoulinantes de graisse, on a jamais osé aller y manger, mais il avait l'air d'y avoir de l'ambiance.