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Citations de « Le guide du voyageur galactique »

  • P11

    Tout là-bas, au fin fond des tréfonds inexplorés et mal famés du bout du bras occidental de la Galaxie, traîne un petit soleil jaunâtre et minable.

    En orbite autour de celui-ci, à la distance approximative de cent cinquante millions de kilomètres, se trouve une petite planète bleu-vert et totalement négligeable dont les habitants — descendus du singe — sont primitifs au point de croire encore que les montres à quartz numériques sont une vachté de chouette idée.

  • P13

    Auprès de bon nombre de civilisations parmi les plus peinardes des confins orientaux de l'anneau galactique, Le Guide galactique a même supplanté la grande Encyclopaedia galactica comme dépositaire classique de la sagesse et de la connaissance car, malgré ses nombreuses omissions, son texte largement apocryphe (ou du moins pour une bonne part apocryphe), il n'en surpasse pas moins les ouvrages antérieurs sur deux points importants :

    Primo, il est légèrement moins cher et, secundo, sur sa couverture on peut lire en larges lettres amicales la mention :

    PAS DE PANIQUE !

  • P19

    Les déviations sont ces dispositifs permettant à certaines personnes de se précipiter à fond de train du point A au point B tandis que d'autres personnes en font de même mais du point B au point A. Les gens qui vivent au point C, exactement situé à mi-chemin, ont souvent tendance à se demander ce qu'a de particulier le point A pour que tant de gens du point B aient envie de s'y rendre et ce qu'a de particulier le point B pour que tant de gens du point A aient envie de s'y rendre. Bien souvent ils préféreraient que les gens décident une bonne fois pour toutes où diable ils ont envie de se mettre.

  • P37

    « On doit être jeudi, se dit Arthur, le nez dans son verre de bière, je n'ai jamais pu digérer les jeudis. »

  • P40

    [Le] hanneton glouton de tron [est] un animal d'une atterrant stupidité : il est persuadé que si vous ne le voyez pas, il ne vous voit pas non plus — con comme un balai mais très, très, très glouton[.]

  • P45

    La fille qu'il avait traînée avec lui en était venue à le détester franchement depuis une heure et sans doute aurait-elle été ravie de savoir que d'ici une minute et demie l'individu s'évaporerait en une bouffée d'hydrogène, d'ozone, et de monoxyde de carbone. À ce moment-là toutefois, elle serait malheureusement personnellement trop occupée à s'évaporer elle-même pour le remarquer.

  • P59

    Les pages une et deux avaient été piquées par un aigle damograin à crête huppée et se trouvaient d'ores et déjà incorporées à une forme de nid radicalement nouvelle que venait d'inventer ce rapace : édifié en grande partie à l'aide de papier mâché, il rendait virtuellement impossible aux aiglons nouvellement éclos de s'en échapper. L'aigle damograin à crête huppée avait entendu parler de la notion des espèces, mais il n'en avait strictement rien à foutre.

  • P68

    « Comment te sens-tu ?

    – Comme l'Université après réduction des crédits, répondit Arthur : j'ai perdu une partie de mes facultés. »

  • P71

    Arthur tâta nerveusement le matelas avant de s'y installer à son tour (en fait, il n'avait guère à s'inquiéter car tous les matelas élevés dans les marécages de Coinslab-Huhl Bêta sont très soigneusement tués et séchés avant d'être mis en service. Fort rares sont ceux à être jamais revenus à la vie).

  • P73

    Voici la démarche à suivre au cas où vous voudriez être pris en stop par un Vogon : laissez tomber.

  • P81

    « Je refuse de prouver que j'existe, dit Dieu, car prouver c'est renier la foi et sans foi, je ne suis plus rien.

    – Pourtant, remarque l'Homme, le poisson Babel en dit long sur le sujet, non ? Son évolution ne saurait être le seul fruit du hasard. Il prouve votre existence et donc, selon votre propre théorie, vous n'existez pas. C.Q.F.D.

    – Sapristi, s'exclame Dieu. C'est que je n'avais pas pensé à ça ! » et sur-le-champ il disparaît dans une bouffée de logique.

  • P92

    – Toute résitance est inutile ! gueula le garde.

    – Mais arrêtez donc de dire des choses pareilles ! bégaya Ford. Comment voulez-vous garder une attitude mentale constructive quand on vous répète des choses comme ça ?

  • P99

    « Tu sais, remarqua Arthur, c'est en de tels moments, quand je me retrouve coincé dans un sas vogon en compagnie d'un natif de Bélelgeuse, au seuil d'une mort imminente par asphyxie dans les profondeurs de l'espace, que je regrette de ne pas avoir écouté ce que me disait ma mère quand j'étais petit.

    – Eh bien, que te disait-elle ?

    – Je sais pas. J'ai pas écouté.

    – Oh ! »

  • P105

    Le poil de seconde durant lequel exista le trou ricocha d'une manière des plus improbables, d'un bout à l'autre de l'échelle du temps. Quelque part dans le tréfonds du passé, il traumatisa sérieusement un petit groupe d'atomes quelconques à la dérive dans le vide stérile de l'espace et les fit se réunir selon les structures les plus extraordinairement improbables, lesquelles stuctures ne tardèrent pas à apprendre à se copier toutes seules (c'était en partie là ce qui les rendaient aussi extraordinaires) avant de se révêler être la cause de troubles considérables sur toutes les planètes où elles devaient échouer. C'est ainsi que commença la vie dans l'univers.

  • P106

    L'univers réel disparut en se cabrant horriblement derrière eux. Divers imitations d'icelui passèrent en voltigeant silencieusement, agils comme des cabris. Une explosion de lumière primordiale éclaboussa l'espace-temps comme des gouttelettes de lait caillé. Le temps s'épanouit. La matière se ratatina. Le plus grand des nombres premiers se recroquevilla tranquillement dans un coin et se laissa définitivement oublier.

    (...)

    L'univers tressauta, se figea, frémit puis se répandit dans plusieurs directions fort inattendues.

  • P107

    « Tu sais, remarqua Arthur avec une toux discrète, s'il s'agit bien de Southend, il s'y passe quelque chose de très bizarre.

    – Tu veux parler de cette façon qu'a la mer de rester prise comme du béton alors que les immeubles ne cessent pas de déferler ? dit Ford. Moi aussi, j'ai trouvé ça bizarre.

  • P117

    O.K. : pour le panache, dix sur dix, mais question jugeote : c'est dix milions en dessous de zéro, non ? »

  • P120

    « J'espère que je ne vous ai pas fait de peine, n'est-ce pas ? » Son ton était pathétique.

    « Mais non, mais non, Marvin, chantonna Trillian. Tout est pour le mieux. Franchement.

    – Parce que je ne voudrais pas avoir à me dire que je vous ai fait de la peine.

    – Mais non. Ne vous inquiétez pas pour ça, continuait la chanson, comportez-vous avec naturel et tout se passera bien.

    – Vous êtes bien sûre que ça ne vous fait rien ? hasarda Marvin.

    – Non, non, Marvin, chantonnait toujours Trillian, tout va pour le mieux ; sincèrement... C'est la vie, c'est tout... »

    Marvin lui lança un lourd regard électronique :

    « La vie... ne me parlez pas de la vie »

  • P120

    Le service commercial de la Compagnie cybernétique de Sirius le définit pour sa part comme « le véritable compagnon en plastique de vos meilleurs instants ».

    Le Guide galactique définit le service commercial de la Compagnie cybernétique de Sirius comme « un ramassis de branleurs stupides qui finiront par se retrouver les premiers contre le mur le jour de la révolution », avec une note indiquant que la rédaction du Guide était interessée par toute candidature pour reprendre le poste de spécialiste en robotique.

    Fait passablement curieux, une édition de l'Encyclopaedia galactica que l'heureux hasard d'une distorsion temporelle avait rejetée du prochain millénaire définissait le service commercial de la Compagnie de Sirius comme « un ramassis de branleurs stupides qui ont fini par se retrouver les premiers contre le mur le jour de la révolution ».

  • P129

    [Zaphod] – S'il y a quelque chose de plus important que mon moi dans les parages, je veux qu'on le prenne et qu'on l'abatte sur-le-champ. »

  • P130

    Une partie du dedans de sa tête se mit à gueuler contre une autre partie dudit dedans.

  • P147

    Très loin dans les brumes de l'Antiquité, aux grands et glorieux jours de l'ancien empire galactique, la vie était sauvage, riche et largement exempte d'impôts.

  • P148

    Et pour les plus riches et les plus heureux parmi les marchands, l'existence fatalement devint ennuyeuse et tatillonne, et ils en vinrent à imaginer que c'était par conséquent la faute des mondes sur lesquels ils s'étaient installés — car aucun d'entre eux n'était vraiment satisfaisant : soit que le climat n'allât pas tout à fait sur la fin de l'après-midi, soit que le jour fût d'une demi-heure trop long, soit que la mer fût exactement d'un rose qui n'allait pas.

  • P150

    – Salut tout le monde ! Ici Eddie votre ordinateur de bord et je suis dans une forme extra, les mecs, et je sens que je vais faire un malheur avec tous les programmes que vous pourrez bien me faire avaler. »

  • P155

    « Eh bien, dit Zaphod sur un ton léger, c'est en partie par curiosité, en partie par goût de l'aventure mais ce que je cherche surtout, c'est, je crois, l'argent et la célébrité... »

  • P156

    Le stress et la tension nerveuse représentent aujourd'hui de sérieux problèmes sociaux dans tous les coins de la Galaxie et c'est dans le louable souci de ne contribuer en aucune manière à l'aggravation de cette situation que les faits suivants vont sans plus attendre se voir dévoilés : (...)

  • P157

    Après un début de journée plutôt agité, les esprits d'Arthur commençaient à se rassembler à partir des fragments épars récupérés de la veille.

  • P157

    La façon dont fonctionnait cet appareil n'était pas ininteressante : sitôt pressé le bouton BOISSON, il effectuait un examen instantané — quoique extrêmement fouillé — des tendances gustatives du sujet, une analyse spectroscopique de son métabolisme, puis envoyait de minuscules signaux expérimentaux via les faiseau nerveux jusqu'aux centres du goût dans le cerveau dudit sujet pour voir ce qui était susceptible de passer le mieux. Cependant, personne ne savait au juste pourquoi il faisait tout ça, vu qu'invariablement il servait une tasse de liquide qui était presque, quoique pas exactement, tout sauf du thé.

  • P158

    – Mégrathmoilà est morte depuis des millions d'années, dit Zaphod, bien sûr qu'il n'y a pas de danger. Même les fantômes ont dû avoir le temps de se ranger et de fonder une famille, à cette heure. »

  • P160

    Il nous est agréable de constater que votre enthousiasme vis-à-vis de notre planète reste inchangé, aussi aimerions-nous vous préciser que les missiles actuellement en train de converger sur votre vaisseau le sont à titre d'échantillons des services exceptionnels que nous réservons à nos plus fidèles clients — les têtes nucléaires entièrement chargées qui les accompagnent n'étant bien entendu qu'une simple faveur. En espérant conserver votre clientèle dans une vie future...

  • P161

    « Eh ! mais c'est super ! s'exclama-t-il. Quelqu'un là dessous est en train d'essayer de nous tuer !

    – Super, en effet, dit Arthur.

    – Mais vous ne voyez donc pas ce que ça signifie ?

    – Si : qu'on va mourir.

  • P170

    Une autre chose dont on omit de parler, ce fut que (contre toute probabilité) un cachalot s'était soudainement matérialisé à plusieurs kilomètres au-dessus de la surface d'une planète étrangère.

    Et vu qu'une telle position se révèle difficilement tenable pour un cachalot, la pauvre innocente créature eut fort peu de temps pour assimiler son identité de cachalot avant de devoir assimilier l'idée de ne plus être un cachalot du tout.

    Voici donc la consignation détaillée de l'ensemble de ses pensées depuis le moment où commença son existence jusqu'à celui de sa fin :

    Ah... ! Que se passe-t-il ? songea-t-il.

    Euh, excusez-moi mais... qui suis-je ?

    Hello ?

    Pourquoi suis-je ici ? Quel est le but de ma vie ?

    Que veux-je dire par : qui suis-je ?

    Du calme, ressaisissons-nous maintenant... oh ! mais que voilà une interessante sensation, qu'est ce que c'est ? comme une impression de creux, de picotement dans mon... dans mon... bon, je supposse que je ferais mieux de commencer d'abord par trouver des noms pour les choses si je veux espérer progresser dans ce que, pour la beauté de ce que j'appellerai ma démonstration, j'appellerai le monde, alors appelons ça mon estomac.

    Bon. Ooooooooooh mais, c'est que ça s'amplifie ! Eh mais... qu'est ce que c'est que ce sifflement rugissant entourant ce qu'à l'instant même je viens de décider de baptiser ma tête ? Peut-être que je peux appeler ça... le vent ! Est-ce un nom bien choisi ? On fera avec... peut-être que j'en trouverai un meilleur plus tard quand j'aurai découvert à quoi ça sert. Ce doit certainement être quelque chose de très important, vu tout le sacré foin qu'il peut faire. Eh... et ça, c'est quoi ? Cette... appelons ça une queue — ouais, une queue. Eh ! Je sais drôlement bien en battre, non ? Waoh ! Waoh ! C'est super ! Ça n'a pas l'air de donner grand-chose mais je trouverai sans doute plus tard pour quoi c'est fait. Voyons maintenant... ai-je édifié une image cohérente du monde ?

    Non.

    Tant pis, hein ! C'est déjà tellement excitant ! Toutes ces choses à chercher ! Toutes ces choses à découvrir ! La tête m'en tourne à l'avance...

    À moins que ce ne soit le vent ?

    Il y a un sacré vent maintenant, non ?

    Et waoh... ! Eh ! Qu'est-ce que c'est que cette chose qui me fonce soudain dessus très vite ? très très très vite ? Si grosse, et plate, et molle... il faudrait que je lui trouve un nom évocateur... voyons : grosse... molle... grolle ? Sole ? Sol ! C'est ça ! Voilà un bon nom : le sol !

    Je me demande si on va être copains, tous les deux ?

    ...

    Et tout le reste, après un brusque grand choc mou, ne fut plus que silence.

    Fait passablement curieux, la seule chose à traverser l'esprit du pot de pétunias pendant sa chute, fut :

    « Oh ! non, encore ! »

    Bien des gens ont estimé que si nous savions exactement pourquoi le pot de pétunias avait pensé ça, nous en saurions bien plus sur la nature profonde de l'univers que ce n'est le cas à l'heure actuelle.

  • P183

    « La vie, observa lugubrement Marvin, qu'on la déteste ou qu'on l'ignore : oui. Mais on ne peut pas l'aimer. »

  • P183

    – Comment ? T'es dingue ou quoi ?

    – Voilà une question que je n'ai pas encore réglée, observa tranquillement Zaphod. Je ne connais de moi-même que ce que mon esprit est capable de discerner dans son état habituel. Et son état habituel n'est pas franchement excellent. »

  • P198

    Il est un fait important (et bien connu) que les choses ne sont pas toujours conformes aux apparences. Par exemple, sur la planète Terre, l'homme a toujours considéré qu'il était plus intelligent que les dauphins sous prétexte qu'il avait inventé toutes sortes de choses — la roue, New York, les guerres, etc. —, tandis que les dauphins quant à eux, n'avaient jamais rien su faire d'autre que de déconner dans l'eau et plus généralement, les dauphins s'étaient toujours crus bien plus intelligents que les hommes — et précisément pour les mêmes raisons.

  • P205

    Une partie de son cerveau lui disait qu'il savait parfaitement bien ce qu'il était en train de contempler et ce que représentaient ces formes, tandis qu'une autre refusait au nom de la raison d'embrasser pareille idée et abdiquait toute responsabilité en cas de poursuite de la réflexion dans ce sens.

  • P209

    Il se pose bien entendu nombre de problèmes concernant la vie parmi lesquels les plus populaires sont : Pourquoi les gens naissent-ils ? Pourquoi meurent-ils ? Et pourquoi cherchent-ils dans l'intervalle à porter le plus souvent possible une montre à quartz numérique ?

  • P209

    [Une race d'hyper intelligences pan-dimensionnelles] se construisirent un stupéfiant superordinateur si fantastiquement intelligent qu'avant même d'être raccordé à ses banques de données, il en était, partant de : Je pense, donc je suis, déjà parvenu à en déduire l'existence du gâteau de semoule et de l'impôt sur le revenu avant qu'on ait eu le temps de l'éteindre.

  • P213

    « Ô Grand Compute-Un, la tâche pour laquelle nous t'avons conçu est celle-ci : nous voudrions que tu nous donnes... (une pause)... la Réponse !

    – La Réponse ? dit Compute-Un. La Réponse à quoi ?

    – À la Vie ! lança Glandu, pressant.

    – À l'Univers ! insista Duglan.

    – Et au Reste ! » conclurent-ils en choeur.

    Compute-Un ménagea un instant de réflexion.

    « C'est coton, conclu-t-il finalement.

  • P221

    Il indiqua à Arthur un siège qui semblait avoir été fabriqué avec la cage thoracique d'un stégosaure.

    « Il a été fabriqué avec la cage thoracique d'un stégosaure, expliqua le vieil homme (...).

  • P226

    La réponse à la grande Question...

    – Oui... !

    – De la Vie, de l'Univers et du Reste..., poursuivit Compute-Un.

    – Oui... !

    – C'est..., dit Compute-Un, marquant une pause.

    – Oui... !?

    – C'est...

    – Oui... !!! ... ?

    – Quarante-deux », dit Compute-Un, avec infiniment de calme et de majesté.

  • P249

    « À présent, créature de la Terre, notre situation est en effet celle-ci : nous avons, comme vous le savez, plus ou moins dirigé votre planète au cours de ces dix derniers millions d'années, dans le but de découvrir ce foutu truc qu'on appelle La Question Fondamentale.

    – Pourquoi ? demanda sèchement Arthur.

    – Non, celle-là on y a déjà pensé, l'interrompit Frankie :

    Pourquoi ? — Quarante-deux... vous voyez bien, ça ne colle pas.

    – Non, corrigea Arthur, je voulais dire : pourquoi avez-vous fait ça ?

  • P263

    Durant un moment, il ne se produisit rien.

    Puis, au bout d'une seconde à peu près, il continua de ne rien se produire.

  • P265

    R est une mesure de vélocité définie comme une vitesse de déplacement Raisonnable, compatible avec la santé, l'équilibre mental, et un Retard n'excédant pas cinq minutes. Il s'agit donc, on le comprend, d'un chiffre qui peut fluctuer de manière quasiment infinie en fonction des circonstances, puisque les deux premiers facteurs varient non seulement en fonction de la vitesse absolue mais également avec la perception qu'on a du troisième facteur.

    Faute d'être manipulée avec calme, une telle équation est susceptible de provoquer des stress considérables, des ulcères, et éventuellement la mort.

    R18 n'est pas une vélocité bien fixée, mais, en tout cas, c'est beaucoup trop rapide.

  • P268

    – Facile : j'étais déprimé, je m'ennuyais tellement que je suis allé me brancher sur ses prises d'interface extérieure. Et puis, j'ai longuement parlé à l'ordinateur, en lui expliquant mes vues sur l'univers, expliqua Marvin.

    – Et que s'est-il passé ? insista Ford.

    – Il s'est suicidé », dit Marvin (...).


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